Nov 7 2011

Normand L’Amour

Ouvre ton esprit!

Ici, au Québec, le célèbre chanteur Normand L’amour nous explique sa façon à lui d’atteindre l’illumination, il simplifie là ou plusieurs compliquent les choses.

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Nov 6 2011

LA CHANSON DE PRÉVERT. SERGE GAINSBOURG.

J’avais  cette chanson en tête aujourd’hui, c’est ma chanson d’automne par excellence. Peut-être le sera-t’elle pour vous aussi. – Gougou

Oh je voudrais tant que tu te souviennes
Cette chanson était la tienne
C’était ta péférée je crois
Qu’elle est de Prévert et Kosma
Et chaque fois Les Feuilles mortes
Te rappelle à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
N’en finissent pas de mourir Lire la suite


Nov 2 2011

Que Sera Sera

A la demande générale, dans le cadre de notre section;  « chantons tous ensemble », voici:

 

Que Sera Sera

Albums : Que Sera Sera
Paroles et traduction de Que Sera Sera

Que Sera Sera (Qu’Est-Ce Que Ce Sera, Sera ?)

When I was just a little girl
Quand j’étais à peine une petite fille Lire la suite


Oct 26 2011

La banane – Philippe Katerine

Mon hymne a la liberté

encore plus

« Heureusement pour nous qu’il existe encore des gentils fous comme lui, ce sont ces gens qui osent exprimer tout haut ce que certain refoule dans le plus profond de leur être. Nos société ont le tour d’ostraciser ce genre de cabotin alors que l’ on devrait faire d’ eux des héros. Voila, c’ est ma façon à moi de rendre hommage a tous les Philippe Katerine de ce monde trop souvent gris. S’il y en a qui s’ offusque de cela, je vous invite gentiment a regarder le second vidéo en boucle car vivre la non-dualité c’ est vivre avec une certaine légèreté. » Gougou


Oct 22 2011

Georges Moustaki – Il y avait un jardin


Parlé:

C’est une chanson pour les enfants qui naissent et qui vivent
entre l’acier et le bitume, entre le béton et l’asphalte,
Et qui ne sauront peut-être jamais
Que la terre tait un jardin.

Chanté:

Il y avait un jardin qu’on appelait la terre.
Il brillait au soleil comme un fruit défendu.
Non, ce n’était pas le paradis ou l’enfer
Ni rien de déjà vu ou déjà entendu.
Lalala, lalala, lalala

Il y avait un jardin, une maison des arbres,
Avec un lit de mousse pour y faire l’amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafraîchir et poursuivait son cours.
Lalala, lalala, lalala.

Il y avait un jardin grand comme une vallée.
On pouvait s’y nourrir toutes les saisons,
Sur la terre brulante ou sur l’herbe gelée
Et découvrir des fleurs qui n’avaient pas nom.
Lalala, lalala, lalala.

Il y avait un jardin qu’on appelait la terre.
Il tait assez grand pour des milliers d’enfants.
Il tait habit jadis par nos grands-pères
Qui le tenaient eux-mêmes de leurs grands-parents.
Lalala, lalala, lalala.

O est-il ce jardin o nous aurions pu naître,
O nous aurions pu vivre insouciants et nus?
O est-il ce jardin toutes portes ouvertes,
Que je cherche encore mais que je ne trouve plus?
Lalala, lalala, lalala.