Août 17 2020

Faites vivre l’Amour et la Joie, simplement…

Documentaire sur Marc Vella, exceptionnel être vibrant d’amour et de lumière, à l’origine de la « Caravane amoureuse » qui lui offre la possibilité d’exprimer son humanité et sa joie de la rencontre.


Août 16 2020

Tout va pour le mieux dans le métro Parisien

J’adore ce genre d’intervention dans le métro,ça nous fait sortir de nos petites illusions, le gars qui fit ça est un véritable éveilleur de conscience.Vous avez remarqué la joie et le bonheur qui se lit sur le visage des gens lorsqu,il s’ installent dans ce nouvel état de conscience?

 


Août 10 2020

Faut-il accepter les souffrances?

Ces temps-ci, on dit beaucoup que, pour avoir de la joie, du bonheur, il faut savoir accepter les souffrances.

Le cri - SkrikPersonne ici ne veut accepter la souffrance. Pourquoi? Parce que la souffrance n’est pas dans notre nature. Notre nature est la joie et nous n’allons jamais accepter la souffrance. Il ne s’agit pas d’accepter la souffrance, mais plutôt ce qui est là, la réalité. La souffrance vient justement de la non-acceptation de ce qui est là. Chaque fois qu’on souffre, c’est qu’on a des problèmes avec la réalité. Tant qu’on aura des problèmes avec la réalité, on va souffrir. Souffrir consiste à prétendre que la réalité n’aurait pas dû être comme elle était. Alors, on souffre et on n’y peut rien. Espoir
Accepter veut dire accepter le fait qu’il y a de la souffrance; cela ne veut pas dire de rester dedans.

Accepter veut dire accepter les transformations de l’existence qui sont intervenues jusqu’à maintenant et aussi celles qui vont intervenir à partir de maintenant. Ce n’est donc pas une résignation bête devant la fatalité de la souffrance. De toute façon, on n’a même pas le choix. On ne voudra jamais demeurer dans la souffrance. Pourquoi dit-on que pour être heureux il faut accepter la souffrance, sinon parce qu’on ne veut pas souffrir? Tout ce qu’on fait, y compris « accepter la souffrance », c’est pour ne pas souffrir. N’est-ce pas clair? Il ne s’agit donc pas d’accepter la souffrance, mais plutôt la réalité. Or, la réalité n’est pas souffrante; elle est joyeuse. Tant qu’on ne comprend pas le mécanisme de la souffrance, qui est refus de ce qui est au nom de ce qu’on n’est pas, on essaie de la combattre : on use de violence dans sa vie et cela ne fait que générer davantage de détresse.

Jean Bouchart D’Orval
Site web : www.jeanbouchartdorval.com
 
Source : Extrait du livre « Au coeur de l’instant – Soudain la joie », Jean Bouchart D’Orval, Édition du Roseau 2002. (p.27-28).
 
ISBN 2-89466-070-7
Au coeur de l'instant - soudain la joie
 

Juil 18 2020

L’espace de la joie

Le but de notre chemin est de connaître la joie. Une joie naturelle. La simple joie d’être. Un bonheur sans calcul qui brille de lui-même. La magie de tous les êtres qui nous entoure, la magie de ce que nous sommes, la beauté de la femme, de l’homme et de l’enfant. Un miracle permanent qui ne demande rien. Un miracle qui nous apprend à aimer toujours davantage, car l’expansion de l’amour est notre nature et la meilleur façon de vivre dans ce monde.

De belles phrases qu’il ne faut pas oublier dans notre pratique quotidienne. De grands idéaux qui demandent à s’incarner, à devenir réalité palpable. Quelle que soit notre pratique ou nos représentations spirituelles, si notre conscience s’approfondie et que notre cœur s’ouvre, alors nous sommes sur le bon chemin. Si votre pratique ne vous mène pas directement ou progressivement à un espace de joie et d’innocence, alors vous êtes en train de cultiver votre pouvoir de contrôle personnel et non l’abandon nécessaire à la vie.

L’abandon ne vous vide pas de vos forces, mais vous enseigne une autre dimension de pouvoir. Un pouvoir au service de la vie et non au service de votre ambition personnelle.

L’espace de la joie naît au creux de votre être naturel et profond. Cet espace, naît de ce que vous êtes, en essence. Il faut être très réceptif et attentif pour le découvrir, puis le cultiver. Il faut du temps et de la foi pour progressivement, faire de cet espace notre centre. Le noyau lumineux à partir duquel nous parlons, écoutons, rions, pleurons, agissons, jouons, aimons.

Petit à petit nous nous familiarisons avec cet autre état d’être, cette autre façon de vivre et d’agir. Nous devenons notre âme, l’être spirituel que nous sommes s’incarne et prodigue alors une toute autre énergie à tout ce qui compose notre quotidien. Nous réalisons que nous sommes la conscience de la vie incarnée. Nous comprenons et ressentons que nos sommes reliés à tout et à tous. Les notions de fraternité, d’unité et d’amour universel se changent en expériences concrètes.

Vous pouvez donc mesurer votre spiritualité à l’aune de votre capacité à aimer. L’espace d’accueil que vous êtes comporte-t-il un certain nombre de péages ? Combien notre ouverture est-elle conditionnelle ? C’est cela que nous devons observer. C’est cela notre chemin quotidien, être attentif au moment où nous nous fermons et nous contractons. Le moment où nous quittons la présence pour nous recroqueviller sur notre limite, sur notre problème. Nous pouvons voir chaque jour avec bienveillance ces relations où nous sommes sur la défensive ou lorsque nous essayons de faire quelque chose à quelqu’un au lieu de le respecter.

Nos peurs et nos tensions sont des formes d’expressions de la vie, elles ne sont pas mauvaises.

L’égo n’est pas un ennemi, mais une phase de notre développement. Tout comme l’enfant que nous fûmes n’est en aucun cas l’ennemi de l’« adulte » que nous sommes aujourd’hui.

Tout cela est naturel, et ne saurait en aucun cas être un problème, c’est le processus de grandir sans fin que nous sommes. On met de l’amour là où il n’y en a pas, de la paix où il n’y en a pas, etc… Ainsi nous matérialisons un monde construit sur autre chose que la compétition et les antagonismes.

Prenons exemple sur les sages et la vie, qui nous aiment quelle que soit notre condition. Aimons-nous de cette façon. Nous ne pouvons pas faire cela avec notre égo, mais avec notre véritable nature. Nous devons dépasser les histoires de toutes sortes qui composent notre petit moi et dont il se nourrit. Nous devons faire l’expérience de notre nature divine et aimante, pour faire la différence entre ce qu’est l’ouverture authentique et ce que sont les subterfuges pseudo-spirituels. Ce qui est conditionnel n’est pas de l’amour. L’amour est maintenant, gratuit, pour tous, sans condition d’énergie ou de niveau. L’amour n’est jamais plus tard, la présence à toujours lieu dans le présent. Pratiquons donc le moment présent, de toutes les manières possibles. Entrainons-nous à rester connectés avec notre source, notre centre. Cela est primordial, le reste suivra. Habituons-nous à rester confortable même sans savoir ce qui se passe ou sans avoir d’abord les explications, agrandissons notre confiance en la vie. Redevenons véritablement disciples, au lieu de vouloir forcément maîtriser ce qui arrive.

Nous sommes déjà à notre place, en train de faire et d’être ce que nous sommes censés être et faire, il n’y a pas de panacée future. Nous devons dessiller notre regard, notre perception pour prendre conscience que l’amour et la joie sont déjà là, depuis toujours. Alors en regardant le monde avec les yeux de l’amour, nous influençons notre environnement et le Nous sommes tous impliqués dans le grandir de notre société et de notre terre. Nous créons ce que nous ressentons à l’intérieur de nous. Nous pouvons donner, émaner cette joie, ce naturel, au lieu de l’exiger des autres et du monde. Mais nous devons d’abord le trouver en nous, le cultiver, le devenir, alors nous ne demanderons plus à ce qui nous entoure de nous remplir. Nous pourrons donner sans attente de retour, ce qui est en nous, ce qui est nous, en essence, un espace de joie.

Nous devons découvrir par nous-mêmes pourquoi il est dit que « Dieu est amour », ce que signifie vraiment « la terre est pure pour qui a le cœur pur » ou « nous sommes tous des frères ». Cela ne doit pas rester lettre morte, discours vide ou belles paroles.

La présence est le chemin qui nous mène à ressentir pour de bon ces vérités spirituelles, pour qu’elles ne soient plus que spirituelles, mais également corporelles, matérielles. La matière attend d’être reconnue aussi divine que le pur esprit, le corps attend d’être aimé à l’égal des anges. Si « tout est Dieu » et que « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut », il nous faut arrêter de diviser le réel entre sacré et profane, entre divin et animal, entre notre enfer aujourd’hui et notre paradis plus tard. Seuls notre perception et notre conception des choses nous séparent du plus grand amour.

Pour cela, il ne s’agit pas de croire ou de faire partie d’un groupe. Il ne s’agit pas d’avoir raison ou d’être du « bon côté ». Il s’agit simplement d’être humain et de regarder au fond de soi ce qu’il y a, ici et maintenant. Etre là. Le reste suivra. Cela peut paraître simpliste, néanmoins rien ne nous empêche d’essayer pour voir si cela marche, et de vérifier par nous-mêmes ce qu’il en est. Bien que l’on puisse être aidé et accompagné, cela ne dépend pas de quelqu’un d’autre.

Par Sébastien Fargue
http://www.soleil-levant.org

Juin 9 2020

Répondre aux évènements avec joie et détachement


Mai 3 2020

Jacques Lusseyran

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Lusseyran

Ne s’occuper que d’accueillir la Joie et la laisser faire en nous.
Elle sait ce qu’elle fait .C’est bien là d’ailleurs le difficile .Oh! c’est probablement le plus difficile de tous les exercices au monde .Il est si simple…
Il est si simple que notre intelligence n’a de cesse qu’elle l’ait compliqué,et que notre cœur veut s’en mêler aussi.
Il faut ainsi s’abandonner à la Joie , mais la regarder toujours.Ces deux mouvements ne sont contradictoires que dans notre intelligence .Dans la pratique il sont parfaitement conciliables.
La découverte de cette conciliation est un des moments clés de l’expérience mystique.

J.Lusseran

http://blueegottof.blogspot.com


Mar 8 2020

La joie par l’humour par Bruno Giuliani

La joie dans l'humour

Quand ça va mal, il existe un remède miracle pour sortir de la tristesse et retrouver la Joie. Une pensée magique, que seuls les sages peut-être ont la folie d’avoir constamment en tête, mais que les fous que nous sommes peuvent parfois avoir la grâce de comprendre dans ces inexplicables éclairs de sagesse qu’on appelle l’humour.  Lire la suite


Août 29 2013

« Les choses se passent comme elles doivent se passer. » -Éric Baret

Extrait d’un entretiens avec Éric Baret.

Je dois bien prendre des initiatives dans la vie… !

Éric Baret : C’est merveilleux que vous le sentiez comme ça. Mais ces initiatives que vous prenez sont une réponse biologique à la situation. Si quelqu’un vous donne une gifle, vous prenez l’initiative d’avoir la joue rouge. Si quelqu’un vous dit que vous êtes un grand homme, vous prenez l’initiative de la joie. Si quelqu’un vous dit que vous êtes un homme misérable, vous prenez l’initiative de la dépression… C’est spontané.

Il n’y a pas d’initiative volontaire. Ce que vous aimez dépend de ce que vous avez mangé les premiers jours ou les premiers mois de votre vie. Le fait que vous préférez le salé ou le sucré, les choses solides ou liquides, vient de situations très anciennes, très profondément enfouies. Vous ne pouvez pas décider d’aimer la nourriture indonésienne ou de détester la nourriture japonaise. Vous pensez décider, mais c’est biologiquement inscrit en vous.

Vous ne pouvez pas décider d’aimer l’architecture moghole et de ne pas aimer l’architecture rajput, ou le contraire. L’une vous émeut plus que l’autre. Où est le choix ? Vous ne pouvez pas décider de trouver telle femme plus attirante qu’une autre. Vous ne décidez pas si vous préférez telle odeur, tel rythme, tel grain de peau, tel son de voix. Vous ne décidez pas si vous préférez les films violents ou ceux qui montrent la beauté.

Qu’est-ce que vous décidez vraiment ?

Vous ne décidez pas de vos maladies. Vous ne décidez pas comment vous vous sentez quand votre femme fait des compliments sur la beauté du voisin. Quand vous avez une augmentation de salaire, quand vous perdez de l’argent, vous ne décidez pas comment cela vous touche. Quand vos enfants sont malades ou en bonne santé, vous ne décidez pas de vos émotions. Profondément, qu’est-ce que vous décidez ?

Mais il y a quand même des choix par rapport à ce que l’on fait. Vous suggérez bien d’écouter…

Éric Baret : Selon tout ce que vous êtes, l’écoute se fait ou non. Quand on fait une suggestion, il ne s’agit pas tellement de suivre la suggestion, mais de vibrer avec elle.

Sur un certain plan, on peut dire qu’avant que l’hiver arrive on le sent venir. Quand on dit « voyez que vous n’écoutez pas » ou « écoutez », ça veut dire que ce mécanisme est déjà en train de s’actualiser. On ne le fait pas s’actualiser, mais le fait même de poser une question signifie que la réponse est en train d’être vécue, ou, plus précisément, la question signifie la réponse en train d’être vécue. Quand on répond, on n’ajoute rien, on ne fait que participer au questionnement en cours. Sans cette compréhension, la question ne serait pas possible. Donc, la réponse ne donne rien. Elle coule exactement comme la question ; elle vient du même endroit : d’un pressentiment. C’est pour cela que ce n’est pas la peine d’écouter les réponses.

Les choses se passent comme elles doivent se passer. La réponse verbalise l’inévitable ; ce n’est pas quelque chose à faire, c’est quelque chose qui est en train de se faire.


Éric Baret

Sans études ni culture, Éric Baret ne possède aucune compétence particulière. Ayant été touché par la tradition non duelle à travers l’enseignement de Jean Klein, il propose de se mettre à l’écoute, sans but d’aucun profit. Rien à enseigner, pas d’enseignant.

Des rencontres pour la joie de ne rien être.


Ce texte constitue un extrait du chapitre 15 du livre Le Seul Désir : dans la nudité des tantra, par Éric Baret, Éditions Trait d’Union, Montréal, février 2002, ISBN2-922572-84-6

 
Source : http://revolution-lente.coerrance.org

Sep 4 2011

Kiri le clown

Méditez ces belles paroles pleines de sagesses! Gougou.