Mar 1 2021

Betty

Betty s’est éveillée à la Réalité, http://www.lagrandejoie.qc.ca
ce vide vibrant où la personnalité est absente, là où rien ne commence et rien ne meurt. Née au Québec, elle y réside toujours. Betty n’enseigne pas; nul besoin de chercher. Le grand rendez-vous est avec vous-même! Être conscient de ne rien être et de ne rien savoir a foudroyé le désir d’exister de Betty, la laissant dans un perpétuel étonnement! Intemporelle et non individuelle, la Conscience ne subit pas de processus évolutif: Elle EST! C’est ce que nous sommes tous! Et c’est accessible, sans distance, sans délai.

http://www.youtube.com/


Fév 12 2021

Charles Coutarel – Réalisation de soi – Accueillir

Moments de présence. L’attention consciente. Accueillir ce qui est. Rassembler l’être en soi.

 

 

 

 


Fév 7 2021

Se prendre pour

La relation avec l’aspect illusionné

Le mental n’est pas “quelqu’un”, de même qu’il n’est pas “autre”. Il s’agit d’un outil, d’une fonction que nous détenons. C’est comme le miroir que nous utilisons pour nous apprêter. Le reflet qu’il nous renvoie est vide. Il en va de même pour notre personnage. Il ne s’agit que d’une idée. L’illusion, ce n’est qu’une idée qui se gêne elle-même, et qui décide de se mettre en quête d’une solution en recherchant la vérité. Mais de quoi parlons-nous ??? C’est aussi cette idée qui veut rester dans “l’observateur” et qui tente d’éviter de “s’impliquer”…  Cela paraît logique du fait de notre identification. Aussi, c’est l’écueil que nous devrions éviter afin de ne pas mettre l’illusion sur le chemin de l’éveil.
Fondamentalement, il n’y a même pas besoin de défaire cette identification. Il ne s’agit que d’une IDENTIFICATION. “Se prendre pour…” ne fait pas qu’on le devient. Au contraire, parce que nous ne pouvons pas le devenir, il nous faut nous y investir en essayant encore et encore. Comme il m’est arrivé de le dire : “nous pratiquons l’illusion”. Plutôt que d’assumer notre nudité, nous nous habillons, nous nous masquons. Tous les matins nous revêtons notre “costume”. Si le rôle se manifeste, s’impose, c’est parce qu’il est joué, c’est parce qu’il est nourri. Il y a donc bien un corps, une Présence initiale qui est à l’origine de l’illusionnement. C’est pour cela que j’invite à nous découvrir “avant”, plutôt que de nous rechercher “après”.
La vérité reste vraie. Elle s’accomplit d’elle-même.
Devant nous, il n’y a jamais eu qu’un “miroir”. Il n’y a personne d’autre.

(billet en réponse à l’e-mail de Nordine et à celui de Sylvain)

http://www.denismarie.net


Fév 6 2021

Adyashanti : l’image de soi

 

Mental ouvert, cœur ouvert, réalisez qu’il n’y a personne là, à protéger. Il n’y a pas besoin d’une barrière émotionnelle ou du sentiment de séparation et d’isolation que crée cette barrière.
La seule raison pour laquelle vous pensez avoir besoin de protection vient d’une incompréhension très innocente. C’est arrivé lorsque vous avez reçu le concept de vous-même à un très jeune âge, vous avez reçu en même temps un kit pour construire des murs et protéger ce concept.
Vous avez ensuite appris, selon les circonstances, à ajouter des éléments au kit. Si une bonne dose de colère a semblé utile, vous l’avez ajoutée, ou peut-être était-ce le ressentiment, la honte, le blâme ou la victimisation.
Que vous vous accrochiez à l’image de vous-même en tant que bonne personne ou personne inadéquate, le kit de l’identité est utilisé pour protéger cette image. Lire la suite

Fév 2 2021

L’éveil en soi (1)

Du déconditionnement à la libération, mode d’emploi

Par le Passeur.

L’époque est unique et réellement extraordinaire.  A la fois tu vis dans un monde que la société humaine a rendu dément et tu te sens impuissant à empêcher sa destruction en cours, et simultanément, tu te trouves au seuil d’un nouveau monde inespéré sur lequel tu vas découvrir que tu as tout pouvoir de création. Quel paradoxe ! C’est la délicate période de transition entre la fin d’un monde et l’avènement du suivant, où cette fois les règles du passé n’auront plus ni emprise ni substance.

Sur cette scène où s’entrechoquent les dimensions, les difficultés résident en la bonne compréhension de ce qui arrive, le juste positionnement à trouver et le choix à faire en conscience.

Pour faire court, commençons par là, tu n’es pas juste né corvéable dans la société des hommes, tu es un être divin… Probablement qu’un certain nombre de résistances en toi t’inclinent à rejeter ce fait dans la corbeille à délires de cette époque. Pourtant, si tu fais le chemin d’entendre ce que je vais te dire, tu envisageras peut-être d’en accepter la possibilité ainsi que toute l’extraordinaire potentialité.

 

La prise de conscience

Vois ça comme une expérience. Essaie quelques instants d’oublier tes croyances et ce que tu admets comme certitudes et invite-toi dans l’ouverture d’un esprit sans préjugé. En cet état réceptif, sois serein et portes à ton regard l’idée que tout ce que tu es et dont tu imprègnes ton environnement est en réalité le fruit de ton conditionnement à croire ce que tu a appris depuis ta naissance à cette vie.

Aujourd’hui tu es adulte. Et tu es à chaque souffle en prise avec la trinité du « regard-sentiment-pensée ». Tout pour toi commence et se répète par le regard que tu portes sur le monde, puis à travers le filtre de tes émotions par tout ce que tu extériorises de toi, tes pensées, tes paroles, tes attitudes et tes actes. C’est la qualité du regard que tu portes à toute chose qui déterminera toujours le sentiment d’où naîtront tes pensées et tes émotions.

Dans ce processus maître, l’émotion est en réalité la première énergie que tu extériorises. Et son pouvoir est considérable.

Au tout début de ta vie, à l’arrivée de ta conscience dans le fœtus que tu étais, ton ressenti a déposé une première couleur à la toile encore vierge de ton incarnation. C’était le début d’une œuvre qui s’est enrichie chaque seconde et n’a jamais cessé de colorer un peu plus en profondeur ta perception. Lorsque tu étais bébé, la pureté du nouveau-né que tu étais t’inclinait à porter un regard accueillant et exempt de tout jugement, mais imagine un peu au fil de l’expérience le nombre de filtres qui voilent ton regard aujourd’hui.

La peur fut le premier sentiment dont l’expérience de la vie t’a imprégnée. Elle a pu s’insinuer tôt, dès tes premiers moments de vie, selon que tu fus accueilli dans la violence ou dans la douceur, ou bien plus tard. Mais quoi qu’il en soit, sous ses différents visages, elle te fut inoculée dès le plus jeune âge par ton environnement. C’est sur ce pilier instable soutenant bien des fragilités à venir que ta personnalité, ton Moi, ton Je, ton ego,  a commencé à se bâtir.

Cet ego, qu’on l’envisage sous les angles psychanalytique, spirituel ou platonicien, est ton Moi sans conscience dont l’aptitude naturellement égocentrique imagine d’incessants mécanismes de défense, épaississant toujours un peu plus l’écran de fumée qui te sépare de ton être véritable. Le mental est son outil de prédilection, la peur est son moteur.

Si tu observes avec sincérité les mécanismes qui dans ta vie personnelle manque d’harmonie en toi, ou les situations pénibles que tu rencontres, tu verras que derrière les sentiments qui se manifestent alors, la peur n’est jamais loin derrière et qu’elle ne t’a jamais quittée, qu’elle a seulement varié et multiplié les formes sous lesquelles créer ces dysharmonies qui t’affectent. Le manque de confiance en soi, particulièrement dans le féminin au sein de l’actuel patriarcat dominant le monde, l’agressivité multiforme, la victimisation, le désespoir, la tentation d’isolement, sont parmi ses habits les plus usuels.

Ce que je t’invite à conscientiser, c’est que la peur n’est pas un sentiment naturel. Il est inculqué de toutes pièces, et chacun y ayant été exposé par une humanité imparfaite dont les composantes sont elles-mêmes érigées sur le même conditionnement, chacun participe ainsi à le nourrir, favorisant toujours un peu plus sa solidité et son expansion. La société humaine a donc fait de la peur la base de son modèle d’action et de réaction. Ce n’est pas une fatalité, c’est une croyance qui a pris corps et qui maintient sa substance parce que justement tu la crois une fatalité, une composante à part entière des conditions de la vie.

Ce cercle peut-être rompu, définitivement.

– Prendre conscience en premier lieu que nous ne sommes pas notre ego est la première étape incontournable du processus de guérison.

L’ego nous est indispensable dans l’expérience que nous avons tous choisie de l’incarnation dans la matière. C’est un véritable couteau suisse toujours prompt à dégainer le bon outil pour se nourrir. Mais souviens-toi justement que son caractère d’utilité ne doit le situer qu’à la juste place de l’outil qu’il est pour toi. Un outil tout aussi respectable que l’est ta main, mais un outil, rien de plus.

Tu n’as pas à t’identifier à ta main parce que tu es parfaitement conscient qu’elle n’est pas toi mais juste une part de toi, et sûrement pas la part qui décide ce que tu es. Il en est de même pour ton ego, pourtant, tu le laisses prendre les rênes de ton existence en ayant oublié que tu es un être infiniment plus vaste que la personnalité que tu croies être ta seule représentation. De cela nous reparlerons dans un autre article.

– Comprendre que derrière chacune de nos manifestations égotiques (colère, jalousie, victimisation, repli sur soi, etc.) réside une peur, que cette peur est née de blessures avec tout leur cortège d’émotions et que toute blessure est guérissable.

De quelles peurs parle-t-on ? Prenons un exemple. Une enfance de soumission à la violence,  qui n’est hélas pas un cas rare, dessinera le chemin de l’adulte à travers les filtres du manque de confiance en lui et du sentiment de culpabilité, vers un manque récurent de respect pour lui-même. Ce qui pourra s’illustrer au quotidien par toute une palette très nuancée d’attitudes et de comportements possibles.

Pour n’en prendre que deux parmi les exemples souvent rencontrés :  l’inclination autodestructrice, allant de l’exposition répétée aux situations néfastes pour soi – la culpabilité en est souvent l’origine – jusqu’aux tentatives de suicide. Ou, autre facette, l’extrême gentillesse affichée et distribuée en toutes circonstances sans discernement – il s’agit plutôt là de combler illusoirement le manque d’amour : « si je suis gentil je serai aimé et donc reconnu comme digne d’être aimé ».

– Intégrer que ces blessures n’ont affecté de nous que notre ego en remplissant ses sacs émotionnels, et nous souvenir que nous ne sommes pas notre ego comme nous ne sommes pas notre main.

C’est très important de bien comprendre que le conditionnement qui est le tien depuis ta naissance t’a conduit à toujours t’identifier à ton ego. C’est une éducation dont l’emprise est telle qu’il t’est difficile d’imaginer qu’il puisse exister autre chose de toi en-dehors de ce que tu perçois comme les contours de ta personnalité, et que tu situes sans le situer quelque part en ton corps.

Tiens, exerce-toi donc à localiser ta personnalité dans ton corps. Où est-elle ? Où se cache–t-il donc cet ego ? Dans le cerveau, le cœur, le ventre, les orteils ? Quand il est blessé, où est-ce que tu as mal ? Ne vois-tu pas quelque chose d’absurde dans les limites physiques où tu penses te situer ? A moins que tu te situes partout en toi ? Ou ailleurs ? Ou ailleurs et partout à la fois ?.. Là, il y a quelque chose qui s’ébroue et qui commence à sonner différemment. Mais qui ne cadre pas avec l’identification que tu fais de ton être à ton ego…

 

Le lâcher-prise

Résumons un peu. Tu n’es donc pas ton ego, mais lui est une part de toi, et une part qui n’a donc pas à décider pour toi de ce que tu es. Par nature limité, il s’est construit au fil de ta vie sur ses propres blessures et n’a toujours fait qu’agir et réagir en fonction des peurs que ses blessures ont installées en lui. Il a pour cela élaboré tout un système de mécanismes de défense, passant parfois par l’attaque préventive, qui sont autant d’armes blessant à leur tour les egos voisins, créant de nouvelles peurs, créant de nouveaux mécanismes de défense…

Tu remarqueras en passant à quel point le collectif humain fonctionne sur ce principe comme l’individu.

Finalement, pour trouver dans ce chaos émotionnel un sentiment de sécurité qu’il ne veut pas voir comme illusoire, l’ego ne cherche qu’une seule chose susceptible croit-il de maîtriser la peur : le contrôle.

C’est la raison pour laquelle, par ton identification à lui, tu cherches toujours à contrôler tous les aspects de ton existence, osant rarement de ton propre chef les mises en situation de perte de contrôle.

C’est de ces quêtes de contrôle illusoire, aux intérêts rarement communs, que naissent les conflits entre les individus ou les nations, qu’apparaissent à tout stade de leur évolution bourreaux et victimes, échangeant leurs rôles autant de fois que ne sont pas comprises et dépassées les expériences qui y ont menés.

Pour rompre ce cercle, qui est typiquement celui des incarnations dans la matrice des vies successives que tu as vécues, il existe une voie toute simple et qui s’ouvre le moment venu : le lâcher-prise.

Le moment venu ne signifie pas qu’on doit l’attendre sans rien faire. En fait, s’il vient de lui-même et souvent d’un coup, c’est lorsqu’on a déjà entamé le chemin de l’éveil par la prise de conscience de ce qu’est l’ego. Fais un bout du chemin et tu trouveras sur ta route ce qu’il te faut pour aller plus loin. Aide-toi et le ciel t’aidera comme on dit.

Le lâcher-prise, c’est en fait reconnaître que l’ego n’est pas maître. C’est l’idée qu’il y a quelque chose en soi de supérieur à la personnalité et dont la vision plus haute est en mesure de mieux percevoir ce qui est juste et bon pour soi. C’est donc sortir du cercle habituel des actions et réactions pour accepter la guidance d’un soi qu’on pressent supérieur en ceci qu’il n’est pas limité comme l’est par sa nature émotionnelle l’ego.

Autrefois, les Chinois usaient parfois de cerfs-volants sur lesquels figurait le dessin d’un œil. Imagine que ton ego tient le cerf-volant et que l’œil est ta conscience, c’est une image très parlante de la prise de hauteur nécessaire pour discerner ce qui émane de l’ego et des illusions qu’il crée et qu’il subit. Lorsque tu es en interrogation sur toi, porte ta conscience dans l’œil du cerf-volant et observe-toi agir.

Dans une vie actuelle au sein d’un pays industrialisé, le mécanisme du lâcher-prise passe d’abord par s’extirper du flux de stress continu engendré par la vie moderne. Ca peut se faire par paliers progressifs ou brutalement selon les circonstances et tes choix, mais il s’agit bien en fin de compte de ne plus permettre au stress de s’ancrer aux vulnérabilités qui lui sont familières.

Ne lève pas les yeux au ciel mon frère, ma sœur, n’oublie pas que pour en être arrivé là tu auras déjà entamé un nettoyage qui pourra le permettre. Ce que tu crois irréalisable au tout début se réalisera sans même que tu comprennes comment ça a été possible. A ce stade, l’écran de fumée qui te masque la réalité de ce que tu es sera bien moins dense.

 

Dénouer les ficelles qui ferment les sacs émotionnels remplis par les blessures de l’ego est une autre étape essentielle du lâcher-prise.

Au regard du jugement que tu portes encore sur toi et ta vie, ça peut te sembler une tâche énorme, mais tu te leurres. En réalité ça n’a jamais été aussi facile et rapide que maintenant. Là où autrefois il fallait une vie de psychanalyse avec des résultats souvent très douteux, l’époque veut que ce chemin d’éveil ait été emprunté par un nombre de plus en plus grand d’êtres, et que la lumière qu’ils ont ainsi manifestée en cours de route éclaire à présent le chemin de ceux qui suivent.

Ainsi, dans cette période extraordinaire de notre histoire, les prises de conscience claires et les mécanismes de corrections qui s’enclenchent à leur suite s’accélèrent chaque jour un peu plus. Et s’il y avait des couches émotionnelles profondes en toi que tu ne parviens pas à atteindre seul,  tu as à présent à ta disposition nombre de thérapies et de thérapeutes nouveaux qui apportent des solutions parfois fulgurantes à cette problématique des sacs émotionnels. A toi d’user de ta foi et de ton discernement pour te guider vers qui et quoi seront bons pour toi.

Sois toutefois vigilant, le risque est grand de te perdre sur les chemins consistant à trop te tourner vers l’extérieur pour trouver des réponses qui sont en toi. Cela aussi fait partie du conditionnement social et du sentiment de séparation que de toujours aller vers l’extérieur.

Tu peux être avantageusement aidé par autrui, si autrui est choisi avec discernement, par exemple si tu tournes en rond depuis longtemps sur une problématique personnelle sans parvenir à la solutionner. Mais l’aide apportée ne sera qu’un révélateur, il n’y a toujours en définitive pour toi pas de sauveur autre que toi.

Il est donc encore parfaitement illusoire de courir sans discernement tous les stages et autres thérapies à ta portée. Tourne-toi d’abord vers toi et accepte l’introspection comme préalable, sois honnête et sincère vis-à-vis de toi et sois prompt à déceler en tout ce qui relève des manifestations de l’ego.

Vu de plus haut, donc sous une perspective plus large, tu es en fait en train de secouer ton être lumineux pour le débarrasser de toutes les nombreuses couches de scories qui voilent sa lumière.

Il est temps de déposer le costume et le rôle au vestiaire et de laisser derrière toi les vieux décors du théâtre où tu as si souvent joué que tu as fini par t’identifier à tes rôles

 

© Le Passeur – 10 Mai 2011 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est autorisé à la copie à la seule condition de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.



Jan 29 2021

Représentation de l’ego…

Voici une magnifique illustration de ce qu’est l’ego, c’est-à-dire, un gros bidule, certes impressionnant, mais en bout de ligne complètement inutile.

http://youtu.be/DuR1i36nBj0


Jan 25 2021

Richard SYLVESTER

“J’espère que vous allez mourir bientôt” Editions L’Originel.

Soi : une évidence

Tout ce que l’on peut rapporter, attribuer, imputer à «je», (ou soi) en disant ou pensant je ou en s’identifiant au nom, au tu, au vous prononcé par l’autre, EST le je (ou soi).

«Le sens de je est constamment créé et recréé avec chaque événement, chaque pensée, sensation et sentiment. Il n’est pas possible d’imaginer que la vie puisse continuer sans le sens de moi, que tout ceci puisse être vu sans personne pour le voir. On ne peut pas davantage imaginer voir qu’il n’y a personne, car qui le verrait ?»

«Le sentiment qu’il existait une personne avait jusqu’alors été une constante et donnait tout son sens à cette vie»

Le sens de je, de soi, est venu de la langue. On a simplement admis que ces mots désignaient quelque chose ou quelqu’un. Mais essayez donc d’être tranquille avec une idée pareille à défendre ou à assumer.

« Le mental est comme une cassette qui joue en boucle toute la journée, et qui n’a qu’un seul message enregistré : vous voyez, j’ai raison, vous voyez, j’ai raison. Il se complète d’un système qui filtre toute évidence du contraire» Lire la suite


Jan 23 2021

le miroir de l’âme

Changer votre façon de voir les choses et vous verrez le monde changer.


Jan 18 2021

« Tout est là. » -Jiddu Krishnamurti

Libérer l'esprit« Se libérer de la société suppose de n’être ni ambitieux, ni cupide, ni en proie à la compétition. Cela signifie n’être rien en regard d’une société, elle-même en proie à l’ambition d’être quelque chose. Mais ceci, voyez-vous, est extrêmement difficile à accepter car vous risquez d’être piétiné ou laissé de côté, vous n’aurez rien. Et c’est précisément dans ce rien que réside la santé mentale.
 
Tant que nous voulons faire partie de cette société, nous perpétuons un modèle qui n’engendre que guerres, destruction, misère et folie. Mais se libérer de cette société – La société de la violence, de la fortune, de la situation, du succès – requiert patience, questionnement et découvertes et non de lire des livres, de se mettre en quête de maîtres, ou de psychologues, etc. » – Jiddu Krishnamurti Lire la suite

Jan 14 2021

UG Krishnamurti – tout tourne autour du moi