Oct 19 2020

L’amérique en faillite….la fin du rêve…mondial…(?)

 

 

http://youtu.be/p6vlr80P6NA

 

http://youtu.be/BMuhn2M_J90

 

 

Réjouissons-nous, bientôt nous saurons ce qu’est la non-dualité, plus de passé et plus d’avenir non plus. Deux options se présente alors, se mettre à vivre l’instant présent dès maintenant ou apprendre à la dure à se sortir de nos illusions? (ça risque de faire mal pour  certains) Je me pose la question, je n’ai pas plus de réponses que vous mais je me dis toujours qu’il y a des pistes à explorer

Gougou


Oct 19 2020

Investigation

Par la quête de : «Qui suis-je ?», le mental devient silencieux.

La pensée  «Qui suis-je ?» détruit toute autre pensée, et, de la même façon que le bâton utilisé pour remuer le bûcher funéraire, elle finira par être elle-même détruite.

Puis la réalisation du Soi surviendra.

Lorsque d’autres pensées émergent, il ne faut pas les entretenir mais rechercher plutôt : «À qui cette pensée apparaît-elle ?»

Peu importe combien de pensées se présentent. Pour chaque pensée qui émerge, il faut se poser la question avec assiduité : «À qui cette pensée est-elle apparue ?»

La réponse sera alors  «à moi». Sur ce, si l’on se demande : «Qui suis-je ?» , le mental retourne à sa source, et la pensée qui avait surgit devient silencieuse. Ainsi, grâce à une pratique régulière, le mental acquerra la capacité de rester dans sa source. Lorsque le mental, sous sa forme subtile, passe par le cerveau et les organes sensoriels, les noms et les formes grossières apparaissent. Lorsqu’ils demeurent dans le Cœur, les noms et les formes disparaissent. Ne pas permettre à l’activité mentale de s’extérioriser et la maintenir dans le Cœur est ce qu’on appelle : «intériorité» (antar-mukha). Laisser le mental quitter le Cœur est appelé : «extériorisation» (bahir-mukha). Ainsi, lorsque le mental demeure dans le Cœur, le  «je» qui est la source de toute pensée s’évanouira, et le Soi, à jamais présent, brillera.

Quoi que l’on fasse, il faut agir sans l’ego «je». Lorsqu’on se conduit de la sorte, la nature de tout ce qui apparaît alors est celle de Siva (Dieu).

– Ramana Maharshi