Déc 17 2020

Le film de la vie

L’écran n’existe que par le film,
Le film n’existe que par l’écran
Et sans la lumière projetée,
Rien de tout cela ne serait.
Qui donc contemple tout cela? Lire la suite


Déc 17 2020

ETTY HILLESUM : UNE VIE BOULEVERSÉE

 
 
ETTY HILLESUM : UNE VIE BOULEVERSÉE

« Cette peur de ne pas tout avoir dans la vie, c’est elle justement qui vous fait tout manquer. Elle vous empêche d’atteindre l’essentiel. »

« Un être humain doit être assez sociable pour ne pas imposer aux autres ses humeurs. »

« Je ne crois plus que nous puissions corriger quoi que ce soit dans le monde extérieur, que nous n’ayons d’abord corrigé en nous. L’unique leçon de cette guerre est de nous avoir appris à chercher en nous-mêmes et pas ailleurs. »

« L’homme forge son destin de l’intérieur, voilà une affirmation bien téméraire. En revanche, l’homme est libre de choisir l’accueil qu’il fera à lui-même à ce destin. »

« On ne connaît pas la vie de quelqu’un si l’on n’en sait que les événements extérieurs. Pour connaître la vie de quelqu’un, il faut connaître ses rêves, ses rapports avec ses parents, ses états d’âme, ses désillusions… »

« En dépit de toutes les souffrances infligées et de toutes les injustices commises, je ne parviens pas à haïr les hommes. Toutes les horreurs et les atrocités perpétrées ne constituent pas une menace mystérieuse et lointaine, extérieure à nous, mais elles sont toutes proches de nous et émanent de nous-mêmes, êtres humains. » Lire la suite


Déc 17 2020

La Voie du Tao

Extrait d’un reportage qui fut diffusé sur Arte, cette vidéo nous emmène dans la Chine contemporaine, mêlant textes anciens et témoignages, nous faisant découvrir le monde du Taoïsme et toute sa sagesse.

http://youtu.be/PIFZdZWcxWQ


Déc 17 2020

RÊVE (et un petit mot de vocabulaire en moins…)

images« La vraie science est une ignorance qui se sait » Montaigne, pour Jef, salut mon ami…

Nous avons juste à comprendre que l’être, le Soi permanent n’est que la conséquence (à ce stade nécessaire) de notre propension quasi-innée à chosifier le sensible, à rendre consistant ce qui n’est qu’apparent, à limiter, scinder l’apparence, à nommer et mettre à distance, à renvoyer cet êtreté sournoisement décernée (et non assumé-et assumable) aux choses dans la sphère métaphysique: ceci est une sensation, cela un objet, cela une pensée, etc… Rigidifer (et limiter) le sensible crée la nécessité de lui offrir un espace vide ou se consumer, ou le voir naître, pour lui rendre la souplesse naturelle que nous lui avons ôté. Et comme nous n’avons à ce stade pas réglé le problème foncier qui est notre soumission inconsciente au verbe « être » (omniprésent dans le langage), nous sommes obligés de nous dire que cet espace, vierge, immaculé, c’est ce que nous sommes.

Pourtant, amis lecteurs, encore un pas pour boucler la boucle: c’est ce mouvement d’être, l’êtreté qu’il faut évacuer une bonne fois pour toutes, plutôt que de ne cesser de la manipuler. Perdre la notion d’être, c’est alors perdre la notion d’être un espace-Soi permanent, et de voir que l’apparence est espace, que la sensation est totalement ouverte, totale. Qu’elle se déroule en elle-même, est à elle-même son propre paradis, sa propre lumière. La sensation n’apparaît pas à quelqu’un, à un sujet connaissant, ne se surimpose à aucun substrat: n’y ayant aucun sujet en arrière-plan, on ne peut même pas dire qu’elle apparaît: en fait, on dit qu’elle EST apparue, mais en réalité elle S‘apparaît…et même cela…

Invitez-vous à vivre un petit moment sans le verbe « être ». Videz-le de sa dramaturgie, réalisez sa dramaturgie, et laissez-le errer comme une simple fonction, une convention, une…apparence. Tentez de voir cela sous cet angle, sans conclusion hâtive, d’un oui ou d’un non: un instant, cessez de voir le problème de l’existence au niveau du « je », du « monde », de la dualité ou je ne sais quoi, mais simplement au niveau du verbe « être », de sa dureté, de son inflexibilité, de son opacité, au sein de notre soumission à lui… Cessez un instant d’être ou de ne pas être, cessez de voir « ce » qui apparaît: sans le verbe être, sans réification: il y a apparence sans rien (sans ceci ou cela) qui n’apparaisse, c’est proprement magique, vous verrez peut-être, une simple indication, que la nature même de la vie est le rêve, la nature de l’éveil est le rêve Total, sans intérieur ni extérieur ni scission… Le rêve n’a rien à voir (voyez-le dans le sommeil) avec le fait d’être ou de n’être pas. Pourquoi, au lever le matin, réintroduire de manière si dramatique ce « penchant »?

Peut-être même sentirez-vous que sans « être », « avoir » perd automatiquement sa compulsion, son attraction, sans violence; alors que l’inverse n’est pas aussi vrai.

Peut-être, n’est-ce pas? Une simple invitation, entre amis qui ne souhaitent pas autre chose qu’un partage sans demain…

Posté par monko

http://nondualite.canalblog.com

 


Déc 17 2020

Bentinho Massaro

Bentinho Massaro nous explique ce qu’est la pure conscience et comment y accéder sans efforts et de façon naturelle.

Bentinho Massaro nous explique ce qu’est la pure conscience et comment y accéder sans efforts et de façon naturelle.

A propos de Bentinho Massaro

Le parcours spirituel de Bentinho Massaro a commencé très tôt à l’âge de 16 ans quand il s’est mis à chercher de façon active, l’ Éveil et la Réalisation de soi. Il était poussé par un désir intense, celui de connaître la source de la vie, celui de découvrir  cette « présence naturelle », comme il l’appelle, qui n’est jamais affectée par les aléas et les différentes circonstances de la vie.
 
http://www.connaissancessansfrontieres.net

Déc 17 2020

Pauvre cobra !

Il y avait une fois un cobra qui vivait dans un champ où il semait la terreur, attaquant et mordant toute personne qui osait traverser son domaine. Vint un jour à passer un savant yogi qui, grâce à la puissance de son mantra, put tenir le serpent à distance. Il en profita pour lui enseigner la non-violence et lui expliqua que tous les êtres étant comme lui d’essence divine il devait respecter la vie. Comme il voyait que le cobra était convaincu et n’attaquerait désormais plus personne, le yogi passa son chemin. Les hasards de ses pérégrinations ramenèrent un jour notre Sage dans les parages du champ où vivait le cobra et, qu’est-ce qu’il y découvrit ? Un pauvre serpent tout efflanqué, plein de plaies, l’œil terne et la mine morose.

– Que t’est-il arrivé ? demanda-t-il. Comme tu m’avais enseigné la non-violence, je me suis scrupuleusement abstenu de mordre les passants. Pendant un certain temps ils faisaient encore un détour pour ne pas traverser mon champ. Puis bientôt ils se sont aperçus que je n’étais plus dangereux, alors ils ont pris l’habitude de couper au court par ici, puis certains ont commencé par me donner des coups de bâton, ensuite ils se sont mis à me lancer des pierres et finalement ils ont réussi à me mettre dans le triste état où tu me vois.

– Imbécile, reprend le Yogi, je t’avais interdit de mordre mais pas de siffler !


Déc 17 2020

Vous n’êtes vivant que dans l’instant présent!

http://youtu.be/CLbqaQmWpgQ

 

Jon Kabat-Zinn est le fondateur du programme de réduction du stress basé sur la pleine conscience (MBSR), qui est utilisée dans plus de 200 hôpitaux et centres médicaux de par le monde.
Il explique dans cette vidéo pourquoi une attention sans jugement, instant après instant, peut être un antidote puissant à l’anxiété, la peur et la dépression.