Gitta MALLASZ – C’est quoi un ange?
http://youtu.be/a4OcJn3KxoA
L’ange, c’ est notre intuition, ce qu’ il y a de meilleur en nous
Une minute par jour pour tenter le meilleur de soi.
Voir LaMinuteSacréee Plus sur www.laminutesacree.nethttp://youtu.be/a4OcJn3KxoA
L’ange, c’ est notre intuition, ce qu’ il y a de meilleur en nous
Une minute par jour pour tenter le meilleur de soi.
Voir LaMinuteSacréee Plus sur www.laminutesacree.netPour le psychiatre Christophe André, l’ introspection est une source de bien-être évidente. Sans tomber dans le nombrilisme, il est capital de prendre rendez-vous avec soi-même de temps en temps pour faire le point.
http://youtu.be/9Y3hWXoBTU0
http://youtu.be/T_GTR0qGEuw
http://youtu.be/dycWhmKwOlE
L’éditeur de Marc Britan, voyant que ce dernier trouvait Le Secret complètement absurde et incohérent, lui a suggéré d’écrire un livre qui viendrait contredire ces propos. Chose que Britan a fini par accepter après avoir été lui-même confronté à des proches qui avaient de la misère à faire la part des choses à travers cet écrit.C’est un peu par hasard que cet auteur de fiction a décidé de riposter. Il avait entendu parler de Byrne par l’entremise de proches et connaissances qui avaient perçu ce livre comme une révélation. Par curiosité, il a fait comme d’autres et a fini par parcourir cet ouvrage qui, aux yeux de certains, est devenu une véritable bible. Premier constat pour Britan, la consternation.
A toi l’enfant qui viens de naître
Je dois dire pour être honnête
Que c’est pas en travaillant
Qu’on trouve le bonheur sur Terre
J’en veux l’exemple que mon père
Qui vit l’jour de son enterr’ment
Qu’il était l’plus riche du cim’tière
Soit fainéant sois fainéant
Tu vivras content
Sois fainéant, sois fainéant
Tu vivras longtemps
Plutôt que d’apprendre à l’école
Baise et collectionne les véroles
La méd’cine fait quelques progrès
Tandis qu’à gagner du bagage
Tu n’aboutirais qu’au chômage
Où déjà sont entassés
Ceux qu’ont cru en la société
Sois fainéant, sois fainéant
Tu vivras content
Sois fainéant, sois fainéant
Tu vivras longtemps
Moins tu en fais, plus tu l’espères
Plus ta santé déjà précaire
Te libère de ses tourments
Gagner ta vie ne vaut pas l’coup
Attendu que tu l’as déjà
Le boulot y en a pas beaucoup
Faut le laisser à ceux qu’aiment ça
Soit fainéant, sois fainéant
Tu vivras content
Sols fainéant, sois fainéant,
Tu vivras longtemps
Si jamais tu voles un copain
Tu en auras moins de chagrin
Que si tu n’as pas à manger
Et si t’as la main sur le cœur
N’hésite pas à la couper
Tu entendras moins les moqueurs
Si c’est toi qui les a roulés
Sois fainéant, sois fainéant
Tu vivras content
Sois fainéant, sois fainéant.
Tu vivras longtemps
Si jamais tu voles un couillon
Qui t’envoie tout droit en prison
Dis-toi qu’il est plus mal logé
Car pour payer ta pitance
Tandis que tu f’ras pénitence
Lui qu’est si fier de t’enfermer
Faudra encore qu’il aille bosser
Sois fainéant, sois fainéant
Tu vivras content
Sois fainéant, sois fainéant,
Tu vivras longtemps
Voilà c’était mon héritage
Comme tu vois j’ai fait mes bagages
Je te laisse avec ta môman
Tu perds rien, j’ai pas l’gros lot
Et tant pis pour toi si je triche
Tu s’ras p’t’être un enfant d’salaud
Mais… tu s’ras pas un fils de riche
Sois fainéant, sois fainéant
Tu vivras content
Sois fainéant, sois fainéant,
Tu vivras longtemps
M. COLUCCI / P. OLIVIER
http://bouddhanar.blogspot.com
http://youtu.be/AhSHPkoj6Ig
Le paradoxe de notre époque est que nous avons plus de connaissances mais moins de patience et de tolérance;
des autoroutes plus larges mais des points de vue plus étroits. On dépense plus mais on a moins, on achète plus mais apprécie moins. Nous avons de plus grande maison mais des plus petites familles, plus de commodités mais moins de temps. On a plus de diplômes mais moins de sens, plus d’éducation mais moins de jugement, plus d’experts mais plus de problèmes, plus de médicaments mais moins de bien-être.
On boit bien trop, on fume bien trop, on dépense sans réfléchir, pis on ne rit pas assez, conduit trop vite, on se fâche trop, on se couche trop tard, on se lève trop fatigué, on ne lit pas assez, regarde trop de TV et on ne ne médite pas assez. Lire la suite
« Comme un don gratuit, on reçoit un nouvel état de conscience et d’être. La vie est don gratuit, l’éveil est don gratuit et tout ce qui arrive est don gratuit. C’est le sens du mot “ Grâce ”. Il y a trois choses à se rappeler ici. Tout d’abord : Ce qui nous est donné doit être reçu avec reconnaissance. Pas simplement les belles et bonnes choses, pas juste ce qui plaît et nous est agréable. TOUT. On remercie pour tout. On remercie tout le temps. Les petits bonheurs, les petits malheurs, les bons coups, les coups durs, tout. L’humilité est venue avec la reconnaissance de notre impuissance. Cette humilité, avons-nous dit, est le fondement de la nouvelle vie, de la vraie vie. Et la reconnaissance (la gratitude), c’est l’humilité vécue à chaque instant : c’est voir que rien n’est venu de nous, que rien ne nous appartient, que nous ne faisons strictement rien, que tout est un cadeau continuel du Courant de la Grâce. (Le mot “gratitude” vient aussi de “grâce” : c’est un acte gratuit, spontané, pour aucune raison, “pour rien”. On remercie spontanément et gratuitement).
Deuxièmement : Ce qui est reçu doit être donné avec générosité. La vie est un courant de générosité intarissable, d’amour sans attache, de don sans attente. La vie, c’est un courant qui se donne sans compter, sans condition, sans marchandage. Donner ce que l’on a reçu, car tout passe, rien ne demeure, tout nous coule de toute façon entre les doigts, tout est mouvement et rien ne doit resté emprisonné dans un coffre-fort, une banque, un frigo ou un cœur. Tout doit circuler. La vie est aussi un courant paisible. Lorsque ce courant est agité et bousculé, cela est dû surtout à nos passions, à notre émotivité, à nos attentes, notre désir de posséder, notre avidité, notre impatience, notre souci pour l’avenir, pour le “ demain ”, le “ plus tard ”, pour “ quand je serai heureux ”. Mais une fois que l’on a mené l’aventure de tout essayer, de goûter à tout, de tout vouloir, de tout posséder, on se retrouve les mains et le cœur vides : ce n’est pas ce qu’on voulait. Saint Paul le disait bien, il y a déjà 2000 ans : Je ne fais pas ce que je veux; je fais ce que ne veux pas. En effet, on peut dire d’une grande partie de sa vie : ‘’Ce n’est pas ce que j’ai voulu.’’
C’est dans le présent que se trouve la Sérénité. Tout le sens des douze étapes, tout le voyage spirituel que la Grâce nous fait parcourir, c’est un voyage vers la sérénité. Non seulement l’abstinence, c’était l’étape clé, mais seulement une étape, le fond de tout cela, le cœur de notre vie et de notre être, c’est la SÉRÉNITÉ, la Présence de Dieu; cette Sérénité qui est venue par l’aveu d’impuissance, l’abandon total au Dieu “ tel que nous Le concevions ”. La reconnaissance continuelle qui se manifeste dans une générosité continuelle. Être serein, c’est être apaisé; c’est rentrer au bercail; c’est arrêter de lutter, rendre les armes, se rendre à Dieu, s’abandonner; c’est renoncer à mener, à contrôler, à comprendre, à savoir. C’est être vidé du Moi et rempli de l’Énergie divine; c’est être Son instrument et n’être que cela. Que Sa Volonté se fasse et que la mienne se perde dans la Sienne. “ Voilà vraiment ce que je veux : voilà enfin ce que j’ai toujours voulu ”. Je dis OUI à tout, sans broncher, solidement ancré dans l’Être au fond de moi. Je ne veux rien pour moi et j’accepte tout ce que la Grâce m’enverra. Rien ne peut détruire cet Être. Cela ne dépend plus de moi. Ma vie ne m’appartient pas, ne m’appartient plus. Tout devient simple et transparent. C’est la Sérénité de Dieu qui vit en moi, qui vit ma vie. »
Placide Gaboury http://placidegaboury.com