Août 31 2020

ce qui se passe sur notre planète est juste

C’est très difficile à croire pour le commun des mortels, mais si cela peut nous libérer d’une certaine souffrance, tant mieux.
On essaie toujours de trouver les raisons et les pourquoi de notre monde et je crois que nous ne trouverons jamais les réponses.
Je me demande quelquefois qui a créé Dieu ou bien est-ce l’œuf ou la poule qui arrive en premier.
Voilà tant de questions qui n’ont pas de réponses.
Lolo

Publié le 14 juin 2011 par Arcturius

 

« À part pour ceux qui se sont ouverts à une autre conscience, pour ce que nous appelons « le commun des mortels » tous les évènements actuels sont banalisés.
Les hommes banalisent même les chutes d’oiseaux, la mort des poissons. Tout ceci les interroge, mais tant qu’ils ne sont pas touchés dans leur propre vie, leur propre famille, leur propre lieu de vie, ils détournent un peu les yeux parce qu’ils ne veulent pas réellement voir.


C’est pour cette raison qu’énormément de choses étranges et difficiles se passeront sur ce monde. Elles auront lieu pour réveiller cette partie de l’humanité qui ne veut pas ouvrir les yeux et qui vit toujours dans une sorte de cocon confortable et égoïste.
Actuellement, ce qui se passe sur Terre est également un grand nettoyage par l’eau. L’eau nettoie… le feu aussi nettoie. Ces deux éléments sont terriblement actifs en ce moment sur la planète Terre, et cela continuera encore jusqu’à la transition.
Malheureusement, les bouleversements touchent parfois des populations très pauvres, démunies, donc elles sont encore dans un plus grand dénuement. Nous allons cependant dire quelque chose qui va peut-être vous choquer :
Ces évènements permettent à ceux qui s’en sortent de donner le maximum d’eux-mêmes et de voir où ils en sont. Soyez certains que cela les fait évoluer.
Même s’ils se révoltent contre les pouvoirs publics qui ne sont pas où ils devraient être et qui ne les aident pas, cela fait partie de leur évolution et de l’aide qu’ils peuvent s’apporter mutuellement. Soyez certains que ceux qui vivent ces catastrophes sont changés pour le restant de leur vie sur Terre.
S’ils se révoltent, ils sont dans des énergies inférieures qui ne les font pas évoluer. S’ils ne se révoltent pas, s’ils acceptent et que, malgré cette souffrance, ils aident encore les autres, ils font un immense pas évolutif ! Leur éveil de conscience se fait brutalement, mais cet éveil de conscience leur permet de gagner plusieurs années que vous, qui êtes d’une certaine manière des « nantis » par rapport eux, mettriez pour accéder à ce niveau de conscience.
Nous allons encore dire ceci qu’il faut que vous vous mettiez bien dans la tête : Tout ce qui se passe sur votre planète est juste !
Tout ce qui se passe sur votre planète fait partie du plan de vie de la planète Terre, fait partie de la transition, fait partie des grands bouleversements annoncés, mais tout est juste ! C’est tout simplement le Plan Divin qui s’applique.
Ne venez pas nous dire que toutes ces catastrophes, toute cette souffrance ne viennent pas de l’application du Plan Divin ! Si vous n’êtes pas en accord avec ce que nous vous disons, c’est que vous êtes encore dans l’endormissement.
Ce que nous vous disons est difficile à accepter, mais c’est juste et vrai ! »
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Août 31 2020

Burt Harding Présence, unité

http://youtu.be/iFMzMlVBSQo


Août 30 2020

La minute du bonheur

Transmis par Joeliah

La méditation est une source de paix et permet de trouver le silence intérieur et donc ce point de neutralité qui permet de vivre au moment présent, sans penser au passé, au futur ou même à ce qui entoure ce moment de grâce.

S’il existe des méditations longues très bénéfiques, il est possible de méditer un cours instant pour que le cerveau apprenne a émettre l’onde magique de paix et de bonheur, mais à condition de le faire souvent. La répétition créé une connexion de neurones qui devient solide et instantanée au bout de centaines de fois de répétition comme un musicien qui fait ses gammes tous les jours, ou une chanteuse qui fait ses vocalises. L’habitude s’installe et devient naturelle.

Plus on émet la vibration de bonheur et plus elle  se répand dans notre entourage et dans l’univers.

Avez-vous remarqué combien il est difficile de focaliser longtemps sur un même sujet ? La télévision ou les jeux vidéos sont de véritables pièges car ils proposent des séquences d’images de moins de 5 secondes et ça change tout le temps.

Une publicité qui touche est celle d’un silence ou d’une image qui reste fixe plus de 7 secondes… et il n’y en a pas beaucoup car le spectateur zappe automatiquement dès qu’une image est fixe trop longtemps. Son cerveau étant habitué à changer d’information toutes les 5 secondes.

La zapette a détruit la volonté et le courage et augmenté l’abêtissement du mental… bien souvent, l’humain reste vautré devant la télé et change rapidement ce qui augmente aussi l’intolérance.
Et entre les choix d’émissions proposées, j’entends parfois les gens dirent, « ‘il n’y avait rien de bon, j’ai écouté le moins mauvais » ou « c’est de pire en pire », mais si je leur dit qu’ils peuvent éteindre et faire autre-chose, alors ils ne sont pas d’accord:  « C’est mon moment de repos »… !

Comment évoluer alors ? Comment révéler ce bonheur de vivre au quotidien ? Il n’y a pas mille solutions… pour évoluer, il est nécessaire de monter sa vibration.

Certains programmes sont élevants, mais ils sont très rares parce qu’une majorité d’humains a décidé d’abêtir l’autre pour pouvoir la diriger facilement. Lire la suite


Août 30 2020

Prends le temps. Va, vis et deviens!


Août 30 2020

Le feu de « JE SUIS »

Un jour, j’ai vu à la télévision un aborigène d’Australie faire du feu.
Ces images m’apparurent comme l’illustration de cette absence de lien entre effort et éveil.
Si l’on prend un peu d’herbe sèche, deux morceaux de bois, l’un plat dans lequel un cône a été préalablement creusé, l’autre rond dont un bout a été taillé comme un crayon. Si l’on emboîte la pointe de l’un dans le cône de l’autre et que l’on fait tourner rapidement le premier au moyen d’un archer, la friction produit la chaleur, et tout à coup, une flamme apparaît, l’herbe sèche brûle. Lire la suite

Août 29 2020

La simplicité volontaire avec Pierre Rabhi

Pierre  Rabhi

http://youtu.be/YcoDGKHjbJw
La simplicité volontaire ou sobriété heureuse est un mode de vie consistant à réduire volontairement sa consommation, ainsi que les impacts de cette dernière, en vue de mener une vie davantage centrée sur des valeurs « essentielles ».

Cet engagement personnel et/ou associatif découle de multiples motivations  qui vont habituellement accorder la priorité aux valeurs familiales, communautaires et/ou écologiques.

On peut trouver la trace de son origine en Europe dans les écrits de Léon Tolstoï et de John Ruskin (Unto This Last), et en Amérique du Nord dans les écrits de Henry David Thoreau (Walden).


Août 29 2020

Pour se libérer, il faut se savoir esclave !

Pour se libérer, il faut se savoir esclave !

Histoire de reprendre le souffle après une séance de luge, j’ai raconté à mes enfants l’histoire de Gygès et de son anneau magique. « Et vous, que feriez-vous si vous aviez l’anneau ? » « Je volerais un bob », rétorque ma fille tandis que mon garçon renchérit : « Moi, des boîtes de raviolis ! » Question : « Et papa, qu’est-ce qu’il ferait s’il avait l’anneau ? » Les yeux rieurs, ils attendent. Ma fille lâche enfin: « Toi, tout ce que tu fais, ça marche ! Mais tu ne voudrais peut-être pas être handicapé ? »

Voilà que revient LE désir enfoui, jamais aussi clairement formulé.

J ‘avais pourtant fait ma liste et m’étais plu à m’imaginer l’heureux possesseur de l’anneau magique. Que ferais-je donc ? Oh, rien de grave ! D’abord, j’irais épier quelques garçons normaux dans leur vie quotidienne, histoire de les désidéaliser, de voir qu’ils doivent eux aussi faire face à des difficultés. Je m’ autoriserais ensuite un bref saut à la librairie juste pour embarquer à l’œil une pile d’ouvrages et, en passant, je ne résisterais pas à une petite halte à la banque, afin d’assurer mes fins de mois et de jouer au Robin des Bois qui-vole-aux-riches-pour-donner-aux-pauvres-pauvres.

Enfin si, tel Aladin, je croisais un bon génie, il est tout sauf sûr, même en y réfléchissant d’un peu plus près, que je changerais de corps. Après tout, il me constitue. C’est lui qui a aussi façonné mon état d’esprit.

Mon état d’esprit, mon corps… je sens bien qu’un désir servile veut tout posséder, tout s’approprier, ligoter entièrement son objet. Mission impossible, qui ne peut que nous vouer au mal-être ! Quand je loupe un avion, c’est mon avion. Il y a deux cent cinquante places dans l’appareil, mais c’est mon avion. Mon avion, ma femme, mes enfants, mes amis. Cette volonté implacable est permanente : « Je te veux, je te veux pour toujours. »

Dès qu’il y a un « pourvu que ça dure », nous voilà mal barrés ! Pourquoi souhaiterais-je être normal ? L’expérience quotidienne suffit à démontrer que la possession et l’avoir ne rendent pas nécessairement heureux. Familier de cette idée, je dois donc m’interdire d’acheter des livres sur le détachement, ou de me vouloir à la place d’un Apollon. À côté de mon rêve de normalité, je débusque un autre désir, tout aussi violent : mon désir de dépouillement a déjà fait déborder quelques rayons de ma bibliothèque ! Confondant paradoxe. À quoi bon chercher dans l’avoir ce qui ne s’obtient que dans la pratique et l’abandon ? Je le sais, et pourtant…
Si je prends mon désir de dépouillement comme échantillon, qu’il me suffise de convenir qu’il n’est en soi pas mauvais. Ce n’est que faute de l’écouter vraiment que je me fourvoie. Car que me dit-il ? Certainement pas de consommer ni d’amasser des livres, encore moins de m’encombrer de théories nouvelles qui m’éloignent d’une pratique saine et sobre. Au contraire, il me convie à savourer le présent, à y puiser l’essentiel de mes ressources, à bannir ces tenaces inclinaisons à la comparaison qui me poussent à désirer être quelqu’un d’autre. Quant à ma soif de plaisir étanchée sans vigilance, elle ne peut que me mener à la dépendance et à la souffrance. Trop docile à certains de mes désirs, j’en subis les conséquences. C’est le cas évidemment lorsque, souhaitant goûter les fruits de l’amitié, je me ligote à l’autre. Comme un avare, je confonds souvent le moyen et la fin. Or si celui-ci tient tellement à thésauriser, c’est avant tout et ultimement parce qu’il aspire à devenir heureux. Dans sa quête, il s’égare, voilà tout ! Moi aussi… Lire la suite


Août 29 2020

Quelle est la nature de la réalité ?


Août 29 2020

Hridaya par Papaji


Août 29 2020

« Accepter ses choix. » -Spinoza

Être heureux avec Spinoza

Au lieu de condamner nos erreurs passées, nous ferions mieux d’essayer de les comprendre. Pourquoi était-il nécessaire, même inévitable, que j’agisse ainsi? Quel sens cet acte avait-il pour moi à l’époque, et quel sens puis-je lui donner aujourd’hui, même s’il me paraît maintenant insensé? Qu’est-ce que cette erreur m’a appris sur la vie, et sur moi-même? Comprendre la nécessité de nos actes — leur aspect inévitable — c’est ainsi apprendre à accepter et aimer son destin, à s’aimer et s’accepter à travers lui. Sans cette acceptation, sans cette pleine affirmation de notre parcours ne laissant place ni aux regrets ni aux remords, il nous est tout à fait impossible d’agir à l’instant présent.

Faut-il suivre le même raisonnement à propos de nos décisions actuelles qu’à propos de nos décisions passées? Puisque nous ne sommes pas libres et que tout ce que nous faisons, nous le faisons nécessairement, pouvons-nous en conclure que nous n’avons pas d’influence réelle sur la poursuite de nos actes? Autrement dit, faut-il cesser de réfléchir à ses choix, et simplement se laisser aller là où le vent nous emporte?


Extrait tiré du livre: Être heureux avec Spinoza de Balthasar Thomass aux Éditions Eyrolles. Vous pouvez vous procurer ce livre en ligne chez Amazon.ca ou localement à la librairie Le Grimoire.