Fév 15 2021

Le côté mystérieux de la vie – Einstein

« La plus belle chose que nous puissions éprouver, c’est le côté mystérieux de la vie » [Albert Einstein]


« L’être humain est partie d’un tout, communément appelé l’Univers, une partie limitée dans le temps et l’espace. Il se perçoit lui-même, avec ses pensées et ses émotions, comme une entité séparée, une sorte d’illusion d’optique, créée par sa conscience, et qui le maintien dans une sorte de prison, une prison qui le limite à ses propres désirs et qui fait qu’il n’accorde son affection qu’à ceux qui lui sont proche. La tâche de l’être humain est de se libérer de cette prison, en élargissant le cercle de ceux qui méritent son affection jusqu’à inclure le genre humain tout entier, ainsi que la nature tout entière, dans toute sa beauté. »

Albert Einstein


Fév 15 2021

« Nous naissons dans l’ignorance et mourons dans le mystère. » -Placide Gaboury

Ermitage WardenJe partage avec vous un texte d’une très grande sagesse de Placide Gaboury tiré de son dernier livre « L’appel de l’innocence ». Un des derniers chapitres du livre, « La mort : l’entrée dans l’invisible », m’interpelle particulièrement, car cela fait maintenant un an que mon ami de toujours et cofondateur du site des « Invité de Marc », Denis « Gougou » Gougeon,  nous as quittés. À la lecture de ces pages je réalise que Denis avait cette sagesse en lui, celle de ne craindre la mort, mais de l’accueillir malgré la peur et la souffrance. Voici l’extrait :

« Si tout le monde aime dormir, c’est parce que, dans le sommeil profond, disent les sages, il n’y a pas d’ego et c’est cela qui crée le bonheur. Et pourtant, on a peur de la mort. On fait même tout pour ne pas mourir, pour contrer, éloigner, nier la mort, mais elle vient en son temps, telle que prévue… »
 
« …C’est vraiment le seul événement qui confond le bon sens et nos prétentions au contrôle. La mort apparaît comme une sorte de punition pour un crime que l’on n’aurait commis. Pourquoi faut-il mourir alors que la vie est si belle? La société d’aujourd’hui… Cette société multiforme et essentiellement et foncièrement dualiste : elle sépare le bien et le mal, Dieu (s’il existe) et l’Homme, la vie et la mort, les bons et les méchants, les bonnes actions et les crimes. Selon cette vision, les humains sont les seuls à agir, à avoir du pouvoir, à disposer d’un libre arbitre, ils sont donc responsables de leurs actes et de l’état du monde… C’est l’inverse de la sagesse non dualiste telle que je l’ai exposée dans mes trois livres précédents. Selon cette façon de voir, l’être humain n’a aucun pouvoir qui vienne de lui, il ne dispose pas d’énergie lui permettant d’agir, tout lui est donné au point de départ, sans qu’il ait pu choisir. Il n’est donc pas libre et à toutes fins pratiques, il ne peut faire un seul geste qui lui appartienne. Il est agi, animé, dirigé et contrôlé du début à la fin par la Source qui seule agit puisqu’elle seule existe en ce monde.
 
Comme disais le Bouddha lors de son éveil : « Il y a des actions, mais personne qui agit ! »

Je vous invite à vous procurer ce livre disponible chez tous les libraires au Québec.

 

Extrait du livre L’Appel de l’innocence : l’héritage d’une vie aux éditions Fides. (2013) p.111-113
Photo : L’éveil du Murmure par Marc Lajoie lors de ma retraite de quelques jours à l’Ermitage Warden.

 


Fév 15 2021

Qohélet…la suite

Qohélèt: sur quoi reconstruire?

Tout cela, j’y ai réfléchi ; ce que j’ai constaté, c’est que les justes, les sages et leurs labeurs ont dans la main de Dieu ; l’amour comme la haine, l’être humain ne les connaît pas ; tout est devant lui.

Tout arrive également à tous : même sort pour le juste et pour le méchant, pour le bon, pour le pur et pour l’impur, pour celui qui sacrifie et pour celui qui ne sacrifie pas ; il en est du bon comme du pécheur, de celui qui prête serment comme de celui qui craint le serment.

Voici un mal parmi tout ce qui se fait sous le soleil : c’est qu’il y a pour tous un même sort; aussi le cœur des humains est rempli de mal, et la démence est dans leur cœur pendant leur vie ; et après… chez les morts !

Qohélèt 9:1-3

Fragments d’un vieux manuscrit du Qohélèt

Sommes-nous prêts, nous humains, à entendre une telle parole? Sommes nous prêts à accepter que le même sort va échoir à tous et à toutes, mêmes aux pires crapules? Lire la suite


Fév 15 2021

L’ énergie spirituel Le témoin du mental

http://youtu.be/8AY3gBshVrY


Fév 15 2021

Ère Nouvelle et survie de l’âme

Il y a une trentaine d’années paraissait aux États-Unis le livre du Docteur Raymond Moody, intituléLa Vie après la vie.

Écrit sur la base des témoignages de plus d’une centaine de personnes ayant repris connaissance après une expérience de coma profond ou avoir été déclarées cliniquement mortes, ce livre fut à l’époque un énorme best-seller (plusieurs millions d’exemplaires vendus à travers le monde en quelques mois). Il déclencha une intense émotion chez la plupart des lecteurs, car il permettait pour la première fois d’établir un lien et des analogies troublantes entre les différents récits de toutes ces personnes confrontées à des NDE (near death experiences), c’est-à-dire à des expériences « aux portes de la mort. »


Plus de 80 % des « miraculés » interrogés par le Docteur Moody déclaraient :

– avoir revécu en une infime fraction de seconde l’ensemble de leur incarnation terrestre avec une précision, une acuité et un luxe de détails stupéfiants.

– avoir ensuite traversé une sorte de tunnel sombre et lugubre et y avoir éprouvé une angoisse indicible.

– avoir, au bout d’un laps de temps variable, remarqué une magnifique lumière qui brillait au loin.

– avoir alors été irrésistiblement attirés par cette source de lumière qui diffusait en même temps un amour extraordinaire.

– avoir éprouvé une joie et un bonheur indescriptibles au contact chaleureux de cette source d’amour et de lumière.

– avoir rencontré, dans la lumière de cette source, des amis ou des membres de leur famille décédés qui les avaient convaincus de retourner dans le plan physique, souvent pour achever une mission d’aide ou d’éducation envers des enfants, des parents âgés, malades ou indigents, ou bien un travail bénéfique à l’ensemble de la collectivité. Lire la suite